Pour compléter la vidéo ci-dessus, nous vous invitons à prendre connaissance des arguments des personnalités à l’origine du projet de documentaire d’enquête sur les éoliennes.
Archives de catégorie : Réchauffement climatique
La Cour des comptes alerte sur le coût des EnR
Voulez-vous frémir ? Devant une somme d’argent faramineuse. D’argent public. Dont la finalité est fortement controversée ? En voici une, piochée dans le dernier rapport de la Cour des comptes. Un rapport sur «le soutien aux énergies renouvelables». Ce chiffre ? 121 milliards d’euros. Il est inéluctable. Il représente en effet uniquement le montant du soutien public auquel s’est engagé L’État par les contrats signés avant 2017 au bénéfice des producteurs d’électricité d’origine éolienne et photovoltaïque (plus un chouïa de bio-méthane). Continuer la lecture
Fin du monde : l’appel d’Aurélien Barrau – C à Vous
Jancovici : La transition énergétique en France
Vidéo de l’interview (ici)
Jean-Marc Jancovici a été interviewé par le Crédit Agricole sur la pertinence de développer de l’éolien et du solaire en France et pour faire un état des lieux sur la transition énergétique.
Sites de l’auteur :
Site de Jancovici : https://jancovici.com
Page Facebook : https://www.facebook.com/jeanmarc.jancovici
Son parcours
Jean-Marc Jancovici est un ingénieur, chef d’entreprise et consultant. Il est également enseignant, conférencier, auteur de livres et chroniqueur indépendant. Il est essentiellement connu pour son travail de sensibilisation et de vulgarisation sur les thèmes de l’énergie et du climat.
Il est membre de l’association ASPO France, qui a pour thème l’étude du pic pétrolier et de ses conséquences. Il est membre du conseil scientifique du Service de l’observation et des statistiques (SOeS) du ministère de la Transition écologique et solidaire . Il est membre du haut conseil pour le Climat, créé en 2018 et placé auprès du Premier Ministre.
Soyez écolo, prônez le nucléaire !
Un écologiste critique les énergies renouvelables, qui posent des problèmes environnementaux sans répondre à la demande, contrairement au nucléaire.
Extraits du long article publié le 09 03 2019 par Le Point
Il est raisonnable de s’interroger sur la sûreté de l’énergie nucléaire et le devenir de ses déchets. Il s’avère que des scientifiques étudient la sécurité et les effets sur la santé de différentes sources d’énergie depuis les années 1960. Toutes les grandes études, y compris une récente publiée dans la revue médicale britannique The Lancet, confirment cela : le nucléaire est le moyen le plus sûr pour produire de l’électricité de manière fiable.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, la fumée produite par les combustibles fossiles et la biomasse entraîne la mort prématurée de sept millions de personnes par an. Sur une durée de vie de 80 ans, moins de 200 personnes mourront des suites du pire accident nucléaire de l’histoire, Tchernobyl,
Si le nucléaire est la meilleure énergie d’un point de vue écologique, c’est parce qu’il produit si peu de déchets et qu’aucun ne vient pénétrer l’environnement comme polluant. En revanche, les panneaux solaires nécessitent 17 fois plus de matériaux (ciment, verre, béton et acier) que les centrales nucléaires et génèrent plus de 200 fois plus de déchets.
Le problème du nucléaire, c’est qu’il est impopulaire, victime d’un demi-siècle d’une action concertée entre lobbys des énergies fossiles et des énergies renouvelables, militants de la dénucléarisation militaire et écologistes misanthropes ayant en ligne de mire l’interdiction de la technologie.
Il est compréhensible que les militants de la lutte contre le changement climatique se soient tournés vers les énergies renouvelables. Elles avaient tout l’air d’être un moyen d’harmoniser la société humaine avec le monde naturel.
Maintenant que nous savons que les énergies renouvelables ne vont pas sauver la planète, allons-nous réellement rester les bras croisés et les laisser la détruire ?
Nucléaire et climat : la grande tromperie
Article publié dans « Le Monde ». Pour lire l’article, cliquer ici
En espérant que sa conclusion, ci-après, vous incitera à lire cet article très documenté :
La conclusion : Un débat public vérolé
D’après l’enquête IPSOS, 75% des personnes se déclarant le plus hostiles à l’électricité nucléaire croient que les centrales nucléaires contribuent « beaucoup » à l’effet de serre.
Pourquoi la population française est-elle à ce point dupée sur une caractéristique majeure et décisive pour la politique climatique de son système électrique ? La question interroge l’école, les formations supérieures, la presse, mais aussi les discours des responsables politiques et militants.
Tout responsable politique doit se demander s’il s’exprime clairement sur ce sujet. Tout journaliste concerné doit se demander si ce qu’il dit et écrit (ou pas) contribue (ou pas) à maintenir les citoyens dans cet état d’ignorance ou à l’informer correctement.
Que l’on soit en désaccord avec l’utilisation de cette énergie parce que l’on n’est pas convaincu que les pratiques des industriels comme le dispositif public de contrôle du risque nucléaire par l’Autorité de Sûreté Nucléaire sont efficaces pour nous protéger est respectable. Et peut constituer une raison pour refuser cette source d’électricité.
Mais que le débat public soit vérolé par une ignorance aussi criante de la capacité de l’énergie nucléaire à apporter une solution pérenne et massive à une fourniture d’électricité climato-compatible est une tare pour la vie démocratique.