Les éoliennes polluent-elles la mer ?

 

http://www.spiegel.de/wissenschaft/natur/windraeder-kontaminieren-nordsee-mitgiftigem-rostschutz-a-1020944.html

Les éoliennes polluent la Mer du Nord avec la protection anticorrosion.

Les éoliennes passent pour conciliables avec I’ environnement – cependant les Installations offshore comportent une part d’ombre. Les tours d’acier, selon les Informations du Spiegel libèrent des tonnes de composés métalliques dans la mer. Avec le développement continu des installations d’éoliennes en mer, des milliers de tonnes De composés métalliques toxiques seront dans les années qui viennent disséminés dans la Mer du Nord et la Mer Baltique. La raison est liée à I’ emploi des anodes artificielles (Opferanoden), ainsi nommées. Elles doivent empêcher la corrosion des soubassements en acier des parcs éoliens. Les anodes artificielles qui sont principalement composées d’aluminium, mais aussi de zinc Et de métaux lourds, se dissolvent peu à peu dans I’ eau. Il n’y a pas à ce jour, d’évaluation des conséquences environnementales. S’agissant seulement de la protection anticorrosion interne des tours d’acier sur lesquelles les éoliennes sont montées, jusqu’à dix tonnes d’aluminium sur une durée de 25 ans, pour chaque tour, seront libérées dans I’ eau de mer, selon les informations du Spiegel. C’est ce qu’a estimé I’ Office Fédéral pour la construction hydraulique (Bundesanstalt fïir Wasserbau). L’objectif de réaliser 6500 Mégawatts de parcs éoliens jusqu’en 2020 pourrait signifier une Dissémination supplémentaire d’environ 13.000 tonnes d’aluminium pour la Mer du Nord et la Baltique. Il existe aussi la possibilité de protéger électriquement I’ acier contre la corrosion. Cette technique est connue de la navigation maritime; cependant, comportant des dépenses d’entretien plus élevées, elle est de ce fait plus coûteuse.

Article original :

Metallverbindungen: Windräder verschmutzen Nordsee mit Rostschutz
DPA Samstag, 28.02.2015 – 08:27 Uhr Windenergiepark in der Nordsee: Rostschutz im Meer Windräder gelten als umweltfreundlich – doch Offshore-Anlagen haben eine Schattenseite. Die Stahltürme geben nach SPIEGEL-Informationen tonnenweise Metallverbindungen ins Meer ab. Mit dem weiteren Ausbau von Windkraftanlagen auf See werden in den kommenden Jahren Tausende Tonnen giftiger Metallverbindungen in Nord- und Ostsee eingebracht.
Grund ist der Einsatz sogenannter Opferanoden. Sie sollen das Verrosten der stählernen Fundamente der Windparks verhindern. ie Opferanoden, die hauptsächlich aus Aluminium, aber auch aus Zink und Schwermetallen bestehen, lösen sich im Wasser nach und nach auf. Eine Umweltfolgenabschätzung dazu gibt es bislang nicht. Allein für den inneren Rostschutz der Stahltürme, auf denen die Offshore-Windräder montiert sind, werden nach SPIEGEL-Informationen über eine Lebensdauer von 25 Jahren bis zu zehn Tonnen Aluminium in das Seewasser abgegeben – bei jedem Turm. Das hat die Bundesanstalt für Wasserbau errechnet. Bei einem Ausbauziel von 6500 Megawatt Offshore-Windparks bis 2020 könnte das eine zusätzliche Belastung von rund 13.000 Tonnen Aluminium für Nord- und Ostsee bedeuten.

Es besteht auch die Möglichkeit, den Stahl elektrisch vor Rost zu schützen. Diese Technik ist aus der Schifffahrt bekannt, allerdings ist diese wartungsaufwendiger und damit teurer. Diese Meldung stammt aus dem SPIEGEL. Den neuen SPIEGEL finden Sie hier.